cookie

نحن نستخدم ملفات تعريف الارتباط لتحسين تجربة التصفح الخاصة بك. بالنقر على "قبول الكل"، أنت توافق على استخدام ملفات تعريف الارتباط.

avatar

Pédocriminalité à travers le monde

Canal relayant des faits de pédocriminalité à travers le monde. Sans agenda politique ni spirituel. Informer sans chichis et prévenir. Juan Carlos Hernandez Email : [email protected]

إظهار المزيد
مشاركات الإعلانات
4 249
المشتركون
-1724 ساعات
-177 أيام
-6030 أيام

جاري تحميل البيانات...

معدل نمو المشترك

جاري تحميل البيانات...

Une situation en partie liée au manque d’attractivité du métier d’enseignant. Des matières comme le français, les mathématiques ou l’allemand ne font plus le plein lors des concours de recrutement et se retrouvent aujourd’hui en tension. Avec les conséquences qu’on connaît, et les recours des familles qui se multiplient. Source Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite
إظهار الكل...
Professeurs absents non remplacés : l’État à nouveau condamné pour manquements par trois familles

Elles avaient porté plainte contre l’État pour des dizaines d’heures de classe sans enseignant dans un collège parisien lors de l’année scol

🙏 1
19.09.2024 France : Professeurs absents non remplacés - l’État à nouveau condamné pour manquements par trois familles. Elles avaient porté plainte contre l’État pour des dizaines d’heures de classe sans enseignant dans un collège parisien lors de l’année scolaire 2021-2022. Des centaines de requêtes de ce type ont été déposées, alors que l’Éducation nationale peine à recruter. Quatorze heures de mathématiques en moins par ci, neuf heures d’histoire-géographie par là. Et encore vingt-cinq heures d’anglais, vingt heures d’espagnol ou vingt-quatre heures d’éducation musicale… Kate n’en revient toujours pas. Lors de l’année scolaire 2021-2022, cette élève de 4e au collège Marie-Curie de Paris (XVIIIe) a vu les absences de professeurs non remplacées s’accumuler au fil des semaines dans son emploi du temps. À tel point qu’à l’époque, sa mère, excédée, finira par rejoindre le collectif #Onveutdesprofs et déposera plainte contre l’État pour manquement à ses obligations d’assurer l’enseignement de toutes les matières obligatoires. « À ce moment-là, on sortait de deux années de confinement très difficiles pour les élèves avec déjà peu de cours assurés, de surcroît dans un collège placé en REP (Réseau d’éducation prioritaire), se souvient Marie Fabre-Artous. Je ne comprenais pas pourquoi tout n’était pas mis en œuvre pour sécuriser l’année suivante. Ça ressemblait à une troisième année sous Covid. C’est pourquoi, même si je ne suis pas militante, je me suis engagé dans l’action pour que les manquements de l’État soient reconnus. » 1 360 euros pour 136 heures de cours perdus Presque deux ans après sa plainte, le tribunal administratif de Paris lui a donné raison et a condamné cette semaine l’État à verser 1 360 euros à sa famille pour 136 heures de cours perdus lors de l’année 2021-2022. Soit 10 euros par heure non assurée, ce qu’avait demandé la mère pour sa fille. Les magistrats considèrent qu’il « résulte du volume élevé d’heures de cours non dispensés que Kate a nécessairement accusé un retard dans ses enseignements ». Ces 136 heures, c’est quasiment 15 % du volume annuel total de cours. Deux autres familles du même établissement ont obtenu 910 euros (pour 91 heures de cours non assurés également en 2021-2022) et 820 euros (pour 82 heures). À chaque fois, le juge considère qu’au « regard du nombre d’heures d’absences en cause, l’État a commis une faute dans l’organisation du service public de nature à engager sa responsabilité ». Les trois familles percevront également 700 euros au titre des frais de procédure. « C’est bien que le préjudice soit reconnu. On n’en attendait pas moins vu les manquements de l’État, commente Marie. Mais l’argent n’est pas mon moteur. Et plus que ces sommes, je préférerais que ces décisions contraignent l’État à garantir les moyens à l’avenir. Car aujourd’hui, ma fille rencontre des difficultés scolaires, et je ne sais pas si c’est lié à la période Covid, ou à cette année 2021-2022. « Une décision historique » De son côté, l’avocate du collectif #Onveutdesprofs — qui revendique le dépôt de 412 requêtes depuis le printemps 2022 — évoque « une décision historique ». « L’État n’a jamais été condamné aussi lourdement pour des absences de professeurs non remplacées, décrypte Me Joyce Pitcher. La jurisprudence est en train d’évoluer et cela va peut-être faire changer la situation dans les écoles où l’on voit que les absences de professeurs persistent. » De telles décisions de justice ont déjà eu lieu, mais elles sont rares. En avril, le tribunal administratif de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise) a condamné l’État dans huit affaires similaires avec, pour deux dossiers, une somme symbolique à verser de 150 euros. Car la problématique n’est pas nouvelle. Lors de la dernière rentrée, il manquait au moins un professeur dans plus de la moitié des établissements, selon le SNPDEN, le premier syndicat des personnels de direction.
إظهار الكل...
🙏 1
Maladroitement aiguillé par son avocat, le voilà appelant de ses vœux la fin du « patriarcat »… tout en énumérant des poncifs. « J’ai toujours eu le plus grand respect pour la femme », assure ainsi Jacques C. Preuve en est, croit bon d’insister son défenseur, ses anciennes partenaires ne se sont jamais plaintes. « J’ai toujours mis le plaisir des femmes en avant », abonde-t-il, détaillant ses projets de bénévolat aux Restos du Cœur, au nom d’un désir de « faire le bien autour de soi ». L’effet est désastreux. Sur leur banc, Gisèle Pelicot et sa fille Caroline sont prises d’un fou rire nerveux. L’effarement et la colère reprennent le dessus quand il assure être resté pour « ne pas contrarier » un Dominique Pelicot « imposant » et « directif ». « Ça avait l’air très important pour lui », complète celui qui s’excusera même par SMS d’être parti si vite. Le visionnage s’impose Me Stéphane Babonneau, à la demande de Gisèle Pelicot, qu’on a vue protester après son mea culpa, lui fait remarquer que ses excuses semblent un peu autocentrées, et manquer de profondeur. « Vous avez un appareil pour mesurer la profondeur ? l’agresse-t-il en retour. Vous ne pensez pas que j’ai pris conscience de la gravité des faits en passant onze mois en prison ? » Puisqu’il nie le viol, le visionnage s’impose. Le premier d’une longue série, puisqu’au moins 35 accusés contestent. Sur les écrans : trois films de quelques secondes chacun — ils paraissent durer des heures. Vêtue d’une lingerie vulgaire, Gisèle Pelicot gît, inerte sur son lit, bouche ouverte et bras ballants, telle un cadavre. Ses ronflements se mêlent au souffle glaçant de son mari, tandis que Jacques C. procède à divers attouchements, appose sa bouche, avant de faire une fellation à Dominique Pelicot — une « échappatoire », assure-t-il, pour faire diversion et s’en aller. Le film s’achève sur l’image du carrelage et des ventres bedonnants des deux hommes en chaussettes. « Vous maintenez vos propos ? Ce n’est pas un peu long pour un bisou ? » s’agace Me Antoine Camus, de la partie civile. « Oui, oui », assure Jacques C., pas plus ébranlé que ça par ce que l’on vient de voir. « Il y a eu des pénétrations, j’étais aux premières loges », grince depuis son box Dominique Pelicot, qui ne rate aucune occasion d’enfoncer ses coaccusés. Me Babonneau, écœuré comme le reste de la salle, tend une dernière perche à l’ancien chauffeur routier. « Après ces images, pensez-vous toujours être quelqu’un qui a toujours respecté les femmes ? » L’accusé, avec aplomb : « Oui. » Source Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite
إظهار الكل...
Procès de la soumission chimique : l’horreur des viols de Mazan visionnée à l’audience

Deux des 50 coaccusés de Dominique Pelicot, accusés de viols sur sa femme préalablement droguée, ont témoigné ce jeudi. L’un a reconnu, le s

😱 1🙏 1
A nouveau, et ce n'est pas un reproche, la journaliste Louise Colcombet du Parisien livre un récit sans complaisance des audiences du procès des viols de Mazan 13ème jour du procès des viols de Mazan - 19.09.2024 Vaucluse - France : L’horreur des viols de Mazan visionnée à l’audience - Deux des 50 coaccusés de Dominique Pelicot, accusés de viols sur sa femme préalablement droguée, ont témoigné ce jeudi. L’un a reconnu, le second partiellement, obligeant la cour criminelle à projeter des vidéos sordides. Le jeudi, 16h33, cour criminelle du Vaucluse. « Je vais donc ouvrir le fichier Abus, nuit du 24 au 25 février 2020 avec Jacques », annonce le président Roger Arata, dans un silence absolu. Gisèle Pelicot détourne le regard, sa fille a quitté la salle, la plupart des accusés regardent le sol. Jacques C., lui, fixe l’écran, persuadé que les images qui vont défiler feront éclater la vérité. Jugé pour viol aggravé, au même titre que les 50 autres hommes présents à ses côtés, le retraité de 72 ans reconnaît bien être venu au domicile des Pelicot en sachant que l’épouse serait endormie, mais ne reconnaît que des caresses et un « bisou » sur son sexe. L’enjeu : obtenir une requalification en agressions sexuelles et une peine moins lourde. Depuis le début de l’après-midi, il tente de convaincre de sa bonne foi et de ses regrets. La voix tremblante, il se tourne d’emblée vers Gisèle Pelicot : « J’ai été anéanti d’être associé à ça, je ne m’en remettrai jamais. J’espère que votre famille survivra à tout ça. » Lui n’accable pas Dominique Pelicot, à qui il reconnaît avoir posé trop peu de questions, déduisant de ses propos que son épouse se réveillerait pour participer aux ébats. « Je me suis mis tout seul dans cette situation, je dois assumer. » « Je me sens coupable de viol… » Le matin même, Lionel R., 44 ans, père de trois enfants et marié à l’époque, avait adopté la même ligne. Celle d’un homme s’étant précipité « sans réfléchir », pour un « plan à trois un peu spécial » en décembre 2018. « Je n’ai pas pensé qu’elle ne pouvait pas être dans le jeu », explique-t-il, Dominique Pelicot lui ayant envoyé des photos de sa femme nue et ayant assuré qu’ils se rendaient dans des clubs libertins. Constatant l’état de son épouse — « elle dormait, elle ne simulait pas » —, il n’avait pourtant quitté les lieux que lorsque le mari l’avait chassé de la chambre après un semblant de réveil… et trente minutes passées sur place. « C’est là que je comprends qu’il ne faut absolument pas qu’elle me voie. J’aurais dû partir plus tôt, j’ai obéi bêtement », regrette-t-il. L’absence de préservatif ? « On n’en n’a même pas parlé, avoue-t-il. J’ai été irréfléchi de A à Z. » « Je me sens coupable de viol… Je n’ai jamais eu l’intention de le faire, mais n’ayant jamais eu le consentement de Madame Pelicot je ne peux que constater les faits. Je vous demande pardon », avait-il d’ailleurs entamé. S’il n’a pas dénoncé les faits, c’est, avoue-t-il, par peur et égoïsme. « Il savait où je travaillais, il savait que j’étais marié. J’aurais pu éviter deux ans de calvaire à Madame Pelicot. Mais j’ai été lâche. » Une défense désastreuse Jacques C., lui, est resté moins longtemps. Mais semble minimiser les faits, cette absence de consentement dont il sait, pour être libertin, que « c’est une condition majeure ». « J’ai été léger », « j’ai manqué de sérieux », dit-il, sans compter ce rassurant « j’aurais pu tomber dans quelque chose de plus grave encore » au sujet de Coco.fr, où il a rencontré Dominique Pelicot le matin même. Et aussi : « j’étais à mille lieues de penser qu’un homme puisse faire ça à la mère de ses enfants. »
إظهار الكل...
19.09.2024 Belgique : Le tribunal correctionnel du Brabant wallon a examiné jeudi un dossier à charge d'un ancien habitant de Wavre, âgé de 74 ans et accusé de faits de moeurs dont la victime est une fillette de 4 ans. Poursuivi pour viol, atteinte à l'intégrité sexuelle de la victime, production et détention d'images de mineur agressé sexuellement, le septuagénaire n'a pas nié les principaux faits pour lesquels il est poursuivi. Le ministère public a requis une peine de sept ans d'emprisonnement ferme. En mai 2024, au lendemain d'un week-end passé chez le prévenu qui est le compagnon de la grand-mère de la fillette, cette dernière a fait des révélations à ses parents. Elle a expliqué qu'elle avait "joué au docteur" avec le septuagénaire avec qui elle s'était retrouvée seule, et qu'il lui avait demandé de masser et d'embrasser son sexe. La police a été avertie et les enquêteurs ont notamment saisi le matériel informatique du suspect. Ils ont pu y récupérer des photos et des vidéos qui avaient fait l'objet d'un essai de suppression. On y voit la scène décrite par la fillette, le prévenu l'ayant filmée. Mais il y avait aussi d'autres photos de la jeune victime, photographiée dénudée, ou encore endormie alors que le prévenu avait posé son sexe sur son visage. Des fichiers montraient également le septuagénaire introduisant deux doigts dans le sexe de la fillette. "Des photos dont la vue est insoutenable", a commenté la substitut à l'audience de jeudi matin. Où malgré l'absence d'antécédents judiciaire du prévenu, vu "l'extrême gravité des faits", une peine de sept ans d'emprisonnement ferme a été requise. L'avocate de la défense, elle, a sollicité l'octroi d'un sursis probatoire pour que son client puisse poursuivre le suivi spécialisé qu'il a déjà entrepris. Le tribunal correctionnel rendra son jugement le 3 octobre. Source Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite
إظهار الكل...
TC Nivelles - Sept ans de prison requis contre un septuagénaire accusé du viol d'une fillette de 4 ans

Le tribunal correctionnel du Brabant wallon a examiné jeudi un dossier à charge d'un ancien habitant de Wavre, âgé de 74 ans et accusé de faits de moeurs dont la victime est une fillette de quatre ans. Poursuivi pour viol, atteinte à l'intégrité sexuelle de la victime, production et détention d'images de mineur agressé sexuellement, le septuagénaire n'a pas nié les principaux faits pour lesquels il est poursuivi. Le ministère public a requis une...

🙏 1
19.09.2024 Belgique : Un couple de parents a comparu jeudi devant le tribunal correctionnel de Verviers. Ils doivent répondre de viol, de torture, de séquestration, de traitements dégradants, d'une tentative de mariage forcé et de coups et blessures sur leur fille aînée, âgée de 15 ans. Ils risquent 4 et 5 ans de prison. Les parents ont quitté leur pays, en guerre et sont arrivés en Belgique en 2016. C'est en 2021 que l'affaire a débuté, lorsque la fille du couple s'est enfuie du domicile familial par la fenêtre, pieds nus, et s'est réfugiée chez une voisine. Une enquête a été ouverte et l'adolescente fera des déclarations effarantes. Elle a notamment expliqué avoir été séquestrée durant trois jours, en 2020, dans la cave car sa tenue vestimentaire ne plaisait pas à ses parents. Elle a aussi fait état de scènes de coups, avec des câbles. Elle a indiqué avoir été victime de privation de nourriture et d'une tentative de mariage forcé avec un homme de 28 ans. Dans ses déclarations, l'adolescente raconte aussi que son père lui a frotté un piment sectionné sur la poitrine. Pire encore, il le lui a introduit, à plusieurs reprises, dans le vagin. La jeune fille indique aussi avoir été la bonne de la famille, avoir été régulièrement insultée, de se faire cracher de dessus. Les parents nient catégoriquement les faits et ils estiment que leur fille ment. Si le ministère public réclame 5 ans de prison pour le père et 4 ans pour la mère, qui n'a pas participé au viol, la défense demande l'acquittement de ses clients au bénéfice du doute. Jugement le 11 octobre. Source Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite
إظهار الكل...
TC Verviers - Des parents risquent 4 et 5 ans de prison pour avoir torturé et violé leur fille de 15 ans

Un couple de parents a comparu jeudi devant le tribunal correctionnel de Verviers. Ils doivent répondre de viol, de torture, de séquestration, de traitements dégradants, d'une tentative de mariage forcé et de coups et blessures sur leur fille aînée, âgée de 15 ans. Ils risquent 4 et 5 ans de prison. Les parents ont quitté leur pays, en guerre et sont arrivés en Belgique en 2016. C'est en 2021 que l'affaire a débuté, lorsque la fille du couple...

19.09.2024 Europe : Au moins 400.000 mineurs sont sans domicile fixe dans l'Union européenne et au Royaume-Uni, et des millions d'autres sont mal-logés, selon une estimation publiée jeudi par la Fédération européenne des associations travaillant avec des personnes sans-abri (Feantsa). Au moins 400.000 mineurs sont sans domicile fixe dans l'Union européenne et au Royaume-Uni, et des millions d'autres sont mal-logés, selon une estimation publiée jeudi par la Fédération européenne des associations travaillant avec des personnes sans-abri (Feantsa). Le nombre d'enfants à la rue, "hébergés en urgence et pris en charge dans les centres dédiés aux personnes sans domicile peut être estimé à 399.561", précise ce rapport. Pour établir leur estimation, les auteurs du rapport précisent avoir étudié les recensements des enfants sans domicile réalisés dans chaque pays disposant de ce type de données. En additionnant les comptages de six pays (Allemagne, Belgique, France, Irlande, Portugal et République Tchèque) dont ils ont jugé les données suffisamment fiables et comparables entre elles, ils sont arrivés à un taux moyen de 0,421% de mineurs vivant dans la rue ou en hébergement d'urgence. "Ce chiffre reste une estimation bien sûr mais c'est un chiffre qui fait froid dans le dos, c'est toute une génération qui se prépare à un avenir plus ou moins fragile", souligne auprès de l'AFP Sarah Coupechoux, chargée de mission Europe à la Fondation Abbé Pierre. Près de 14,5 millions d'enfants européens habitaient quant à eux en 2023 un logement présentant des infiltrations, des fondations humides ou des moisissures, précisent les auteurs de l'édition 2024 du rapport "Regard sur le mal-logement en Europe". Dans l'Union européenne, un quart des mineurs - et plus d'un cinquième des enfants de moins de 6 ans - vivaient par ailleurs dans un logement surpeuplé en 2023. Et plus de cinq millions de ménages avec enfants étaient dans "l'incapacité financière de maintenir leur logement à une température adéquate". Toutes classes d'âge confondues, ce rapport estime à 1,2 million le nombre de personnes à la rue, hébergées en urgence et prises en charge dans les foyers d'accueil dans l'UE. Source Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite
إظهار الكل...
Asile et migration - Au moins 400.000 mineurs sans domicile fixe dans l'UE, selon des associations

Au moins 400.000 mineurs sont sans domicile fixe dans l'Union européenne et au Royaume-Uni, et des millions d'autres sont mal-logés, selon une estimation publiée jeudi par la Fédération européenne des associations travaillant avec des personnes sans-abri (Feantsa). Le nombre d'enfants à la rue, "hébergés en urgence et pris en charge dans les centres dédiés aux personnes sans domicile peut être estimé à 399.561", précise ce rapport. Pour établir...

19.09.2024 Belgique : Le tribunal correctionnel de Malines a condamné jeudi un homme à 15 ans de prison pour avoir violé et agressé sexuellement pendant des années sa belle-fille mineure d'âge. La mère de la victime a écopé de 12 ans de prison. Les deux prévenus ont également été condamnés à une mise à disposition du tribunal d'application des peines pendant 15 ans et à une interdiction de contacter la victime pendant 20 ans. Le père de l'enfant a, lui, été condamné par défaut à deux ans de prison pour incitation à la débauche. En juillet 2023, une femme avait alerté la police, inquiète pour une amie de sa fille, dont elle trouvait la relation avec son beau-père âgé de 40 ans trop intime. La police a découvert que le quadragénaire échangeait des messages à caractère sexuel avec sa belle-fille lorsqu'elle était âgée de 10 à 13 ans. Selon le parquet, le prévenu a violé pour la première fois l'enfant lorsqu'elle était âgée de 9 ans. Il a ensuite eu des contacts sexuels avec la fillette presque quotidiennement. La mère de l'enfant était au courant et donnait même des conseils à sa fille pour "satisfaire" le prévenu. Le père de l'enfant a été condamné pour incitation à la débauche. Il assure qu'il ignorait que sa fille était violée par son beau-père mais il lui avait offert un vibromasseur et un plug anal. Source Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite
إظهار الكل...
TC Malines - Quinze ans de prison pour un homme qui a violé sa belle-fille pendant plusieurs années

Le tribunal correctionnel de Malines a condamné jeudi un homme à 15 ans de prison pour avoir violé et agressé sexuellement pendant des années sa belle-fille mineure d'âge. La mère de la victime a écopé de 12 ans de prison. Les deux prévenus ont également été condamnés à une mise à disposition du tribunal d'application des peines pendant 15 ans et à une interdiction de contacter la victime pendant 20 ans. Le père de l'enfant a, lui, été condamné...

😱 1🙏 1
19.09.2024 Cher - France : Les gendarmes ont mené une traque pendant toute la journée de jeudi. Un père de famille, sorti de prison en début de semaine, a enlevé sa fille de 2 ans. Ils ont été retrouvés vers 17 heures dans le département de la Creuse. Un père de famille est en garde à vue ce jeudi soir dans le département du Cher. Il est visé par une enquête pour "soustraction de mineurs" et pour "violences conjugales aggravées". L'homme est sorti de prison en début de semaine. Ce matin, il se rend au domicile de la mère de sa fille, sur la commune du Châtelet, dans le sud du Cher. Il la menace, il la frappe à plusieurs reprises et il part en voiture avec la fillette de deux ans. La fille retrouvée en bonne santé après une journée de recherches Les forces de l'ordre sont rapidement prévenues. Un dispositif massif est mis en place pour rechercher l'homme au plus vite. Un hélicoptère, des gendarmes au sol et des équipes cynophiles sont mobilisés. La voiture est finalement retrouvée dans le département de la Creuse, sur une aire de repos. La fillette est saine et sauve. L'homme a été interpellé et placé en garde à vue. Il était en sursis probatoire à sa sortie de détention. Source Soutenir ce canal ➡️ https://t.me/pedocriminalite
إظهار الكل...
Cher : une fillette de 2 ans enlevée par son père et retrouvée en vie après une longue traque - France Bleu

Les gendarmes ont mené une traque pendant toute la journée de jeudi. Un père de famille, sorti de prison en début de semaine, a enlevé sa fille de 2 ans. Ils ont été retrouvés vers 17 heures dans le département de la Creuse.

🙏 1
⚠️ Ceux qui font valoir la "liberté d'expression" et crient à la censure dans l'affaire Durov sont inquiétants (et encore plus la presque centaine d'abonnés visiblement outrés et partis suite à ma position allant dans le sens de la protection de l'enfance avant TOUT et qui n'a pas bougé d'un iota depuis l'arrestation du milliardaire) Ne se rendent-ils pas compte qu'ils sont aveuglés et canalisés par certains tunnels idéologiques alimentés les habituels diffuseurs de fake news, craignant plus que tout de ne plus pouvoir diffuser leurs fausses informations et se rendent ainsi complices de la très forte augmentation de la pédocriminalité en ligne ? Telegram était (est encore probablement ..) un sanctuaire pour toutes sortes de criminels, de prédateurs et ....de millions de pédocriminels. Non, Telegram ne disparaîtra pas à cause de cette affaire, mais sera à terme assaini ( et Pavel Durov le promet APRES sa mise en examen ). Suivi - 19.09.2024 France : « On ne peut pas laisser faire les pédocriminels » : la Fondation pour l’Enfance partie civile contre Telegram. La mise en examen de Pavel Durov, le fondateur de Telegram, accusé de laxisme vis-à-vis des contenus pédocriminels diffusés via sa messagerie, met en lumière l’importance de ce phénomène en ligne. Les parents doivent être vigilants, met en garde Joëlle Sicamois, directrice de la Fondation pour l’Enfance. Voici son Interview. La Fondation pour l’Enfance vient de l’annoncer. L’œuvre créée en 1977 par Anne-Aymone Giscard d’Estaing se constitue partie civile dans l’information judiciaire contre Pavel Durov. Le milliardaire russe, dirigeant de la messagerie chiffrée Telegram, a été mis en examen fin août, entre autres pour « complicité de diffusion en bande organisée d’images de mineur présentant un caractère pédopornographique ». Sur l’application aux 900 millions d’utilisateurs qu’il a créée, les contenus illicites pullulent. Selon Joëlle Sicamois, la directrice de la Fondation pour l’Enfance, il y a urgence à réguler plus strictement ces plates-formes numériques. Pourquoi vous constituez-vous partie civile dans cette affaire ? JOËLLE SICAMOIS. On ne peut accepter que Telegram laisse prospérer des contenus pédocriminels sur sa messagerie et que son fondateur Pavel Durov refuse de coopérer avec la justice. Sur ces photos, ces vidéos, la plupart des enfants ne sont pas identifiés. Il est important de porter leur voix et de soutenir les familles de victimes. Souvent, les prédateurs qui consultent ces images disent que ce n’est pas un crime car ils ne font que regarder. C’est faux ! C’est une atteinte grave à leur droit, à leur dignité. Ils menacent l’intégrité des enfants et se rendent coupables de violence. Que se passe-t-il sur ces canaux privés ? Les pédocriminels s’échangent sans cesse des images. Ils partagent des contenus de plus en plus violents qui, selon l’OFMIN (le service d’enquête contre les violences faites aux mineurs), s’exercent sur des enfants de plus en plus jeunes. On parle là de sévices, de viols de bébés de trois ou quatre mois. Aux Philippines, des prédateurs payent 50 dollars des parents pour que leur fils ou leur fille de 4 ans soit violé en direct sous leurs yeux. Sur ces canaux privés, ces hommes s’informent aussi sur la manière de créer des contenus pédocriminels à partir de l’intelligence artificielle. Pour les fabriquer, ils récupèrent des images d’enfants postés par les parents sur les réseaux sociaux. Ils partagent des « guides », des « outils ». Ce qui est terrifiant, c’est qu’ils progressent ainsi dans leur capacité à capter ces images et à les échanger. Telegram a-t-il contribué à faire grossir les rangs des prédateurs ? C’est difficile à dire. Il est clair que lorsque vous refusez de coopérer avec la justice comme le fait Telegram, vous envoyez le signal que ces hommes sont protégés par la messagerie, qu’ils sont « ici » chez eux. On ne peut pas laisser faire. La pédocriminalité a explosé de + 6 000 % entre 2011 et 2021.
إظهار الكل...
2🔥 1🙏 1
اختر خطة مختلفة

تسمح خطتك الحالية بتحليلات لما لا يزيد عن 5 قنوات. للحصول على المزيد، يُرجى اختيار خطة مختلفة.